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Guillaume Lalonde se présente pour le Parti Québécois dans Deux-Montagnes

L’équipe du Parti Québécois présente la candidature de Guillaume Lalonde dans la circonscription de Deux-Montagnes. Âgé de 24 ans, Guillaume s’implique activement dans sa communauté, et ce, depuis plusieurs années.

Candidat à la dernière élection municipale à Saint-Eustache, Guillaume Lalonde fait désormais entendre la voix de ses concitoyennes et concitoyens en siégeant à la fois à la Commission de l’environnement et de l’embellissement et à la Commission des communications et des relations avec le citoyen de sa ville natale. Ayant également collaboré avec le député du Bloc Québécois, M. Luc Désilets, comme adjoint aux communications, il connaît bien les qualités qu’exige la fonction de député. Ces nombreuses expériences ont aiguisé sa motivation, déjà grande; Guillaume se dit prêt à porter et à défendre les enjeux de la circonscription de Deux-Montagnes.

« Au Parti Québécois, nous sommes heureux de constater l’arrivée d’une nouvelle génération qui s’implique fièrement dans nos rangs non seulement pour l’idéal d’indépendance que nous portons pour le Québec, mais aussi pour la justice sociale, l’environnement et l’égalité des chances. C’est la preuve que notre projet transcende les générations! Guillaume possède d’indiscutables qualités de rassembleur, et il entre facilement en relation avec les gens; je suis absolument convaincu qu’il saura démontrer les bienfaits de notre projet de pays tout en défendant énergiquement et efficacement les intérêts des citoyens de Deux-Montagnes », a affirmé le chef du Parti Québécois, Paul St-Pierre Plamondon.

Détenteur d’un baccalauréat en études internationales de l’Université de Montréal et complétant actuellement une maîtrise en administration publique à l’ENAP, Guillaume Lalonde s’avère un indépendantiste convaincu et convaincant. « Nous formons le seul peuple en Amérique du Nord pour qui la langue commune est le français; nous avons la responsabilité de protéger cette langue en nous affranchissant du pays qui a passé l’entièreté de son histoire à vouloir nous avaler dans la masse anglophone. Le Canada est un beau pays, mais ce n’est pas le nôtre. Bien sûr, nous devons avoir des relations amicales et de bonne foi avec nos voisins du Canada, mais nous n’avons pas à accepter de nous faire dire comment gérer notre propre État, particulièrement en matière environnementale », a-t-il catégoriquement déclaré.

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